PLACER SON ARGENT DANS L’IMMOBILIER : LES POINTS A SUIVRE
Faire des affaires au Mexique n’est pas aussi difficile que dans les autres pays mais y acquérir un bien est bien plus compliqué. En effet, l’achat de biens immobiliers est rudement réglementé depuis toujours pour éviter aux étrangers de spolier des éléments du patrimoine. Aussi, pour ceux qui veulent investir dans l’immobilier, il faut connaitre les exigences de l’administration.
Guide pour acheteur au Mexique
Avant de penser à investir au Mexique il faudrait penser à faire des recherches sur les lois mexicaines. Si auparavant, la loi a interdit l’acquisition de terrain près des côtes où on fait une excursion à Playa del Carmen, cette interdiction est actuellement levée. Ainsi, l’achat est possible sur les régions telles que la Riviera Maya là où il n’y a que des sites touristiques et des côtes. D’où une installation massive d’expatrier pour faire des affaires dans le tourisme et pour construire des grands hôtels, de condo et centre de loisirs. Après, il faut savoir que même si les étrangers ne peuvent devenir propriétaires, ils peuvent néanmoins profiter de l’usus et fructus ou le droit d’user et de jouir des biens dans les côtes. Mais pour cela ils doivent avoir recours à un contrat de fiducie avec une banque qui est appelé «fideicomiso». Avec cet acte, les expatriés peuvent surement acquérir le terrain ou la maison et en profiter pleinement comme s’ils étaient en pleine propriété.
En quoi consiste le fideicomiso?
Il s’agit d’un contrat passé avec la banque dans lequel la banque va détenir un fonds de placement immobilier au nom d’un client de nationalité étrangère. Il peut être signé avec n’importe quelle banque du pays. Dans ce cas, la banque est le fiduciaire qui agit au nom et pour le compte de l’étranger, pseudo propriétaire, et ce dernier sera le bénéficiaire de la fiducie. Il faut noter que cette fiducie se transmet à «cause de mort» c’est-à-dire que les héritiers peuvent pleinement en profiter en cas de décès du premier titulaire. En tout cas, ceci permet de contourner la loi et l’expatrié peut finalement conserver entièrement le contrôle de la propriété ainsi que les investissements mis dessus.